Efrosiens

Planète d’origine : Efros
Affiliation : Fédération
Classification : Mammifère humanoïde
Exigence environnementale : Classe M
Sexe : Bisexué : Mâle, femelle
Capacité télépathique : Possible au sein des prêtres-guerriers
Caractéristiques raciales : Légères crêtes crâniennes ; sous-divisions raciales ; coloration de la peau, des et des yeux variées.

Les Efrosiens sont très similaire en apparence aux Klingons, à l’exception des crêtes crâniennes très légères par rapport à celle des klingons qui recouvre la tête et à un teint de peau couleur cuivre. Leurs visages sont couvert de tâches de naissance héritées de leurs ancêtres qui ne pouvaient ; puis ont négligés de ; couvrir celui-ci, contre le froid vigoureux d’Efros. Les mâles ont les cheveux blonds ou blanc tandis que les femelles ont les cheveux noir ou brun foncé. Une tradition culturelle Efrosienne veux que les mâles possèdent de longues moustaches, et pour les deux genres d’avoir de longs cheveux. Les Efrosiens ont deux estomacs et doivent prendre régulièrement de l’huile de noix Levithi pour rester en bonne santé. Ces noix sont trouvées sur Efros (appelé également Efros Delta) et sont exportés sur tous les mondes de la Fédération où des Efrosiens vivent. La plupart des Efrosiens ont les yeux fragiles, qui sont compensés par un fort odorat. Certains Efrosiens, qui sont aveugle, compensent leur handicap par des appareils optiques spéciaux. Fait intéressant, malgré leur vue déficiente, les Efrosiens ont un champ de vision plus large que les humains et sont sensible à un spectre plus large.

Les Efrosiens ont une capacité innée au sens de l’orientation et ce quel que soit les conditions environnementales. Ceci serait dû, à un mécanisme de survie, pour faire face aux conditions atmosphérique spécifique de leur monde, constamment balayé par les tempêtes de neige. En conséquence, les Efrosiens sont souvent sollicités comme navigateur.

Le développement culturel Efrosien est le résultat de la dureté de la vie sur Efros, monde glacé depuis des générations. Le développement technologique et social ont été minimal pendant les millénaires d’âges glaciaire qui ont ravagés la planète. Une fois que les immenses glaciers ont commencés à se briser, la vie a pu s’éveiller.
La culture Efrosienne veut qu’un Efrosien choisisse un domaine d’étude et s’y spécialise. Les Efrosiens n’ont pas de langage écrit. Aussi la culture Efrosienne est basée sur une tradition de mémorisation orale et toute son histoire est ainsi inscrite dans les mémoires et leurs bibliothèques ressemblent à des bibliothèques musicales d’autres mondes. Ce système de mémoire est d’ordinaire plus observé dans races aquatiques, comme les Alonis, que des races mammifères humanoïdes.
Il n’en reste pas moins, que la plupart des Efrosiens possèdent un mémoire hypermnésique ou eidétique.

[Note de l’auteur :
- Mémoire Hypermnésique : Faculté de pouvoir se souvenir en détail de tout ce qui c’est dérouler au cours de sa vie et de pouvoir rappeler à volonté ces souvenirs.
- Mémoire Eidétique : Aussi appelé mémoire photographique, faculté de pouvoir se souvenir en détail de tout ce qui a été instruit.
La principale différence vient donc du fait, qu’une mémoire hypermnésique vous permettra de savoir en détail de ce que vous avez vu et fait, le premier jour de vos 6 ans au déjeuner ; tandis qu’une mémoire eidétique vous permettra de vous souvenir en détail du tout premier livre que vous avez lu.]

Les Efrosiens n’ont pas le concept de la monogamie, bien que cette absence de concept ne résulte pas de la promiscuité forcée, dans laquelle ils vivent. D’ailleurs, les Efrosiens considèrent les relations sexuelles comme une manière utile de se rapprocher de ses collègues. Il est en effet, considéré comme impoli de ne pas flirter avec quelqu’un de son sexe préféré. Les Efrosiens n’ont également pas de tabou en matière de préférence sexuelle et l’homosexualité est complètement acceptée. Les enfants sont éduqués par les mères uniquement ; en fait, le mot Efrosien pour mère est traduit par « parent ». Le terme le plus proche pour père est « donneur de semences ». La plupart des Efrosiens n’ont même jamais rencontrés leur père ou ne savent même pas qui il est, ce qui par le fait de leur société, est souvent le cas même pour la mère. La mère est aidée dans l’éducation de l’enfant par tous les amants qu’elle a au moment de sa grossesse. Cette façon de vivre découle directement des conditions de vie sur Efros, la nécessité pour la survie de l’espèce veux que les femelles aient un maximum de patrimoine génétique, pour faire une nouvelle génération forte et résistante. Laisser la mère s’occuper seule des enfants ou dépendre d’un seul mâle, qui ne pourrait retourner donner son patrimoine génétique, aurait été pure folie. Les Efrosiens sont connus pour être souvent à l’écoute des besoins émotionnels des autres. Ils sont également connus pour être des personnes émotionnellement complexes.

Chaque tribu, durant la période glaciaire, possédait au moins un prêtre-guerrier, un individu capable de prouesses, aux combats exceptionnels, ainsi que de guérisons. Lorsque la période glaciaire s’est achevée, les prêtres-guerriers unifièrent Efros sous l’égide d’une oligarchie dirigée par le toujours vénéré S’skotomz.

En tant que membre de la Fédération, une délégation Efrosienne siège au conseil de la Fédération. En 2289, Ra-Ghoratreii est élu Président de la Fédération des Planètes Unies et servira jusqu’en 2300.

Les Efrosiens sont des êtres généralement profondément spirituels. Leur religion possède la même moralité binaire que la plupart des religions référencées sur Terre. Les Efrosiens ont un équivalent du paradis, connu comme « le Ciel sans fin » et il est contrebalancé par « les Profondeurs en flamme ». Les funérailles Efrosiennes se fond par le biais d’une « marche au mort » en l’honneur du défunt. La foi Efrosienne est connue pour obliger ses membres à ne pas en révéler les noms à haute voix sur Efros. Rien d’autres n’est connus, puisque les Efrosiens refusent de parler de leur religion, sauf pour mentionner que leur religion leur a permis de résister à la période glaciaire. Malheureusement, leur religion a fait l’objet de nombreuses spéculations dont entre autre, le fait qu’ils sacrifieraient des enfants et commettraient des meurtres rituels. Le secret, de leurs pratiques religieuses est toujours gardé, même en plein 24° siècle.

Quelques anthropologues de la Fédération affirment qu’il y a des preuves que les Efrosiens n’auraient pas évolués à partir de la planète Efros. D’autres, suggèrent que la race a été implantée sur la planète après sa période glaciaire par le Pourvoyeur.

Contrairement à d’autres planètes ou la technologie a souffert du culte et de la domination d’une religion, les prêtres-guerriers croient que celle-ci peut améliorer les conditions de vie.
Comme le climat se réchauffe (à un rythme très lent), des énergies et des ressources minérales ont été découvertes qui ont sensiblement contribuées aux progrès technologiques. Le Premier Contact a été établi par la Fédération en 2278, quand un équipage vulcain à bord de l’USS Surak, a visité Efros. Ravi d’apprendre que d’autres formes de vie existent ailleurs, les Efrosiens ont tôt fait de rejoindre la Fédération et ont commencés à échangés les courants de pensées et les technologies. Beaucoup ont servis StarFleet et l’académie marchande en tant que navigateur, pilote et personnel médical (certains prêtre-guerrier ont servis en tant que médecin dans StarFleet).

En 2286, un navigateur Efrosien, Chitirih Da-Dreii était à bord de l’USS Saratoga quand il a rencontré la « cetacean probe », le long de la zone neutre klingon.

En 2293, le président de la Fédération Ra-Ghoratreii accordera l’extradition du Capitaine James T. Kirk et du docteur Léonard McCoy à l’Empire Klingon et à subir son procès pour l’assassinat du Chancelier Gorkon. Peu de temps après, il a obtenu la signature des Accords de Khitomer.
Dans le courant du 24° siècle, de nombreux Efrosiens ont protestés contre le concept de « l’officier généraliste », à cause de la particularité de leur culture qui veut qu’un Efrosien se spécialise dans un domaine en particulier.